• Ca fait des mois que je suis sur cette idée, et je crois que j'en ai encore pour un bon moment...

    J'avais envie d'habiller un peu mes murs, tristement blancs, et de rendre ma pièce plus chaleureuse. Or dans les salons orientaux, il y a souvent un soubassement en faîence, jusqu'à mi-hauteur des murs.

    Pour réduire les frais, et pour pouvoir le faire moi-même, je suis donc partie à la recherche de tissus qui pourrait convenir. Début de la galère !
    J'ai fait des tas de magasins de tissus, rien ne me convenait parfaitement, ou alors c'était trop cher pour mon budget (il m'en fallait 12 mètres...), ou, quand je tombais enfin sur la perle rare, le vendeur n'en avait pas suffisamment...
    Finalement, c'est aux puces de Montreuil que j'ai fini par trouver mon bonheur, à 1 € le mètre ! je ne pouvais rêver mieux ! Du coup j'ai même pu choisir un autre tissus en rab, juste parce qu'il me plaisait, en m'inventant de nouveaux besoins, de rideaux ? de coussins ? On verra bien ! (vive la société de consommation, les marchandises importées de chine, le commerce inéquitable,...)

    Enfin donc, j'avais la matière, encore fallait-il trouver la méthode, assimiler la technique... Encore une fois, ce n'était pas gagné !

    D'abord, couper le tissus aux bonnes dimensions, comme ça, ça a l'air simple. 
    Me voilà donc avec mon mètre, à mesurer le mur, puis le tissus, en rajoutant quelques centimètres pour pouvoir faire un ourlet.
    Pour ceux qui ne le savent pas, il y a une technique très pratique pour couper droit du tissus : un petit coup de ciseau au niveau ou l'on veut couper, puis on tire une partie dans chaque main, le tissus se déchire en suivant la trame. Mais ce n'est possible que dans un sens (horizontal ou vertical), et évidemment, la trame de mon tissus n'est pas dans le bon sens ! Me voilà donc à la recherche d'un moyen de couper correctement mon tissus. Etallé sur la table, à grands renforts de Codes civil et pénal pour le maintenir... mais rien à faire, ça glisse, ça tombe... J'ai fini par m'installer à même le sol, avec des punaises pour maintenir mon tissus (c'est un vieux parquet en bois, déjà plein de trous...). Malgré tout, mon découpage m'a l'air légèrement tordu...

    Ensuite, je fais les ourlets comme je peux, et encore une fois àa m'a pas l'air très droit tout ça. (Mon outil de couture préféré : la colle à tissus !)

    Arrivée là, et ayant déjà dépensé pas mal d'énergie, il ne me restait plus qu'à trouver le moyen d'accrocher mon morceau de tissus au mur.
    J'y avais quand même un peu réfléchi avant, et envisagé deux possibilités :
    - le scotch double-face (un autre de mes outils préférés ;-)
    - l'agraffeuse (maman m'a prêté son agrafeuse murale), combinée avec le scotch double-face (pas question de laisser tomber mes chouchoux !) pour pouvoir rabattre le tissus sur les rebords et ainsi cacher les agrafes.
    J'ai d'abord essayé la première solution, plus simple et qui me permettait d'enlever et récupérer facilement mon tissus, aucune trace ne subsistant sur le mur... Mais bon, même les meilleurs amis ne sont pas parfaits, et mon scotch n'était pas assez costaud, le tissus se décollait de partout.
    Me voilà donc armée de l'agrafeuse, avec tout à recommancer. Et PAN PAN (ça fait un boucan d'enfer !), heureusement, ça avance vite et le résultat est plutôt pas mal... de loin !

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    Si vous vous approchiez, vous verriez que tout est de travers : le tissus n'est pas coupé droit, ni accroché droit, le mur lui-même n'est pas droit (c'est une vieille maison). Mais malgré tout, je suis assez contente !
    Ne me restent plus que 3 murs 1/2 ! Je vous tient au courant de l'avancée du chantier.

    Très longtemps après, j'ai enfin avancé, mais vu le désastre de mon premier essai, j'ai appelé Maman à la rescousse. Récit du chantier par ici, et explication de la méthode utilisée par là !

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  • Quand nous avons emménagé dans notre appartement, la cuisine était équipée d'un petit frigo dont nous n'avions pas besoin puisque nous en possédons un (grand, avec plein d'espace à remplir !).

    Ce frigo nous encombrait alors je lui ai trouvé une place dans notre chambre, il est parfait pour ranger les chaussures, non ?

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    Un rectangle de carton sur le dessus, un peu de tissus (en l'occurrence découpé dans une vieille nappe...), et le tour est joué !
    Juste un petit détail auquel il faut penser : faire en sorte que la porte ne se referme pas complètement, pour éviter les odeurs de renfermé à l'intérieur du frigo... Moi j'ai tout simplement positionné un magnet sur le rebord de la porte.

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  • Jusqu'à il y a peu, je n'utilisais mon four à micro-ondes uniquement pour préparer le chocolat du p'tit dej' ou pour réchauffer des restes de la veille...

    Et puis j'ai découvert que la cuisine au micro-ondes existait, que c'était bon et que cela présentait des tas d'avantages !

    D'abord, c'est rapide, et qui dit rapide dit également économie d'énergie et moins de perte de vitamines des aliments.

    Ensuite la cuisine au micro-ondes  nécessite moins de matière grasse que la cuisine traditionnelle, c'est donc meilleur pour la ligne.

    Et enfin, c'est l'outil idéal des flémard(e)s puisqu'en général un seul plat suffit pour la cuisson et qu'il servira ensuite de plat de service. Donc, adieu les poêles qu'il faut frotter pendant des lustres, avec la cuisine au micro-ondes, vous aurez trois fois moins de vaisselle à faire !


    Quelques trucs à connaître :

    Comment ça marche ?

    Les micro-ondes qui traversent les aliments provoquent des vibrations des molécules d'eau et de graisse, ces vibrations créent un frottement et donc un échauffement.

    Pour une température homogène :

    Vous avez sans doute remarqué qu'il pouvait y avoir des différences de températures dans un même plat réchauffé au micro-ondes. Cela s'explique par plusieurs éléments :
    - Les molécules d'eau et de graisse sont les premières à chauffer. En fonction de leur teneur en eau et en graisse, les aliments vont donc chauffer à des vitesses différentes.
    - Les ondes ne pénètrent que jusqu'à 4 cm de profondeur, et sont plus fortes au bord du plat qu'au centre.
    - Certains éléments, comme les os, sont conducteurs de chaleur, les morceaux de viande en contact avec un os seront donc plus vite cuits.

    Pour que vos plats aient une température homogène, il faut donc prendre en compte ces éléments et adopter quelques réflexes très simples :
    - Couper les aliments pour qu'ils ne soient pas trop volumineux
    - Disposer de préférence les aliments qui chaufferont le plus vite (les plus petits et ceux contenant le plus d'eau ou de gras) au centre de votre plat, les autres sur les bords.
    - Si nécessaire, mélanger en milieu de cuisson pour répartir la chaleur, ou couvrir certaines parties de votre plat.

    Une cuisson parfaite

    Comme au four ou à la casserole, la cuisson au micro-ondes se décline sous différentes manières ; couvrir ou non les aliments, varier la puissance, compter des temps de pause... sont autant de facteurs qu'il faudra apprendre à maitriser.
    A savoir : les aliments continuent de cuire encore quelques minutes une fois le four éteint.

    Micro-ondes et aluminium

    Il ne faut jamais utiliser de métal dans un four à micro-ondes, cela provoquerait des étincelles qui pourraient gravement endommager votre four.

    Et pourtant, contrairement à ce que je croyais, il est possible d'utiliser de l'aluminium, à certaines conditions.
    Les barquettes en alu peuvent être passées au micro-ondes à trois conditions cumulatives :
    - Elles ne doivent pas faire plus de 2 cm de haut
    - Elles ne doivent pas toucher les parois du four
    - Le volume des aliments qu'elles contiennent doit représenter au moins le double de celui du métal.
    De même, il est possible d'utiliser du papier d'aluminium pour recouvrir les aliments, à condition que ce papier ne touche pas les parois du foir et qu'il ne recouvre pas plus du tiers de la surface du plat.

    Testez vos récipients

    Si vous ne savez pas si un plat est adapté au micro-ondes, remplissez-le d'eau froide et placez-le une minute à puissance maximale dans votre micro-ondes. Si quand le DING résonne, l'eau est chaude et votre plat froid, il est parfait ! Dans le cas contraire, il risque de se déformer ou de se craqueler à la cuisson...


    Des recettes ?

    Je vous ferais sans doute part de mes trouvailles par la suite. En attendant, en voici quelques-unes qui m'ont l'air très sympas :

    http://www.marmiton.org/recettes/selection_micro_ondes.cfm


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  • Si vous voulez relire l'article et ses commentaires, c'est par ici.

    Donc pour résumer, pour accrocher mes "mini étagères", pas de substance collante (type patafix ou double face), qui risquerait de ne pas tenir à long terme, mais plutôt des pointes fines, comme celles qu'on utilise pour les cadres...

    Sinon, pour fabriquer les étagères, j'ai pensé à des boites à camembert coupées en deux. (OK, je ferais attention à ce qu'elles ne gardent pas l'odeur, sinon, bonjour les bougies parfumées !!!)

    Je trouvais la forme sympa, en demi-cercle, et avec un rebord pour éviter les chûtes de bougies... La taille me semblait adaptée. Et le matériau aussi est intéressant : du bois, ce qui pourra permettre de le peindre et de le vernir, mais du bois facile à travailler, pas besoin de dégoter une scie circulaire !

    Et puis, pour un camembert acheté, 4 étagères offertes, c'est pas une super affaire ça ?!

    Se pose toujours le problème de la fragilité... Alors, boite à camembert renforcée ? Boite à autre chose ? A vos claviers, j'attends vos réactions !!!


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  • Voilà les sorcières, spécialistes des mollards de crapauds, merci Nicolas !

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